Femmes solidaires

L'association Femmes solidaires, anciennement Union des femmes françaises, est un mouvement pour la défense et le développement des droits des femmes et pour la parité et la solidarité internationale.



Catégories :

Association ou organisme égalitariste français - Féminisme - Organisme fondé en 1944

L'association Femmes solidaires, anciennement Union des femmes françaises (UFF), est un mouvement pour la défense et le développement des droits des femmes et pour la parité et la solidarité internationale.

Présentation

Femmes solidaires est un mouvement féministe d'éducation populaire national composé de plus de 185 associations locales. Les valeurs fondatrices de l'association sont la laïcité, la mixité, l'égalité pour les droits des femmes, la paix et la liberté. L'association dispose aujourd'hui d'environ 30 000 membres et publie le mensuel Clara Magazine. [1] Son engagement social a pour but de lutter contre toute forme de discrimination ou de domination, surtout dans les domaines du droits et de l'accès à l'emploi, de l'égalité des femmes et des hommes au travail, de la parité ou de la lutte contre les violences faites aux femmes.

Elle bénéficie d'un statut consultatif spécial auprès des Nations unies. L'association s'implique aussi dans des campagnes de solidarités internationales et travaille avec de nombreuses associations de femmes dans différents pays du monde.

Historique

Issue des comités féminins de la Résistance, l'Union des femmes françaises est créée par un Congrès le 21 décembre 1944. Elle se révèle rapidement liée au Parti communiste français, sous la houlette de Jeannette Vermeersch, qui en fait pendant les années de Guerre froide, une organisation communiste de masse[1].

L'Union des femmes françaises a, à ce titre, accompagné activement les pages les plus sinistres de l'histoire du Parti Communiste Français. Ce mouvement a surtout été un des complices actif de la politique d'extermination massive des prisonniers (politiques ou de guerre) menée par les communistes au Vietnam, sous l'appellation "politique de clémence d'Ho Chi Minh", dans des camps où le taux de mortalité dépassait celui des camps de concentration allemands. L'Union des Femmes Françaises servait surtout de relai de propagande pour accréditer l'idée que les prisonniers en voie d'extermination étaient bien traités et pour diffuser les auto-critiques extorquées aux malheureux sous la torture par leurs bourreaux. [2] [3] [4].


L'Union des femmes françaises devient Femmes solidaires en 1998.

Personnalités membres

Notes et références

  1. Emmanuel Naquet, "Ligues et associations", dans Jean-Jacques Becker et Gilles Candar (dir. ), Histoire des gauches en France, volume 2, La Découverte, Paris, 2004, p. 104
  2. "Prisonnier au camp 113", Claude Bayle
  3. "Oublié 23 ans dans les goulags Vietminh" Huynh Ba Xuan
  4. "Face à la mort" Marcela Feraru (ECPA)

Lien externe

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"Le comité de Femmes solidaires"

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